La vérité sur le thon injecté
21.06.2016
Le comité permanent sur les végétaux, les animaux, les denrées alimentaires et les aliments pour animaux (Instance de la Commission Européenne), s’est réuni le 17 septembre 2018 et a clarifié sa position sur l’utilisation des antioxydants dans le thon et sur l’utilisation des extraits de plantes comme additifs.
Clarification sur leur utilisation. Toute utilisation d’antioxydant ne doit pas dépasser le quantum satis (limite considérée comme suffisante pour obtenir l’effet antioxydant souhaité).
Fixation de la limite de la présence d’acide ascorbique et d’ascorbates (E 300, E301, E302) à 300mg/Kg dans les longes de thon.
Si les extraits de plantes ont une fonction aromatisante, ils doivent être clairement perceptibles par le consommateur, et, si tel n’est pas le cas, ils sont considérés comme additifs.
Si les extraits de plantes ont à la fois une fonction aromatisante et technologique, c’est la fonction technologique qui prime. L’extrait de plantes est considéré comme un additif et doit se conformer à la législation spécifique des additifs alimentaires, règlement (CE) n°1333/2008.
Les additifs approuvés par la Commission Européenne sont clairement identifiés dans une liste exhaustive, règlement (UE) no 1129/2011. Tout extrait de plantes qui apporte un intérêt technologique doit figurer dans cette liste.
Comptoirs Océaniques et Cap Cavally n’ont jamais commercialisé de longes de thon avec présence d’additifs. Attachés à la sécurité du consommateur et au respect de la naturalité des produits, Comptoirs Océaniques et Cap Cavally garantissent que leurs longes de thon sont 100% naturelles, sans additif et sans ajout d’eau.
21.06.2016
21.06.2016